L’Internet nous a fait prendre conscience de l’importance du monde virtuel, qui n’est autre que celui des idées. Le droit positif, conçu pour un monde de richesse matérielle, est impuissant à le réglementer. La sagesse la plus élémentaire nous invite à changer de perspective et à nous inspirer de l’expérience d’anciennes civilisations qui bien longtemps avant nous avaient pris conscience du monde virtuel. Mieux que les philosophies post-modernes, la sagesse juridique de l’ancienne Rome et de l’ancienne Egypte, qui tenait compte à la fois de la dimension matérielle et immatérielle de la vie humaine, est apte à nous éclairer dans la façon de gérer au mieux l’Internet.
MARCUS GARVEY Père de l’unité africaine des peuples Tome 1
25 000 CFAMarcus Garvey est un Noir né en Jamaïque en 1887, deux ans après le Congrès de Berlin où l’Europe se partage l’Afrique et dans les derniers temps de l’esclavage des Noirs brésiliens ou cubains De Kingston (Jamaïque) à New-York, Londres, Paris ou Genève, au cours de ses pérégrinations inlassables, Garvey a été la caisse de résonance des affres du Peuple Noir, déporté aux Amériques ou colonisé sur son propre sol par les Européens. Ostracisé ou interdit de séjour, par les Etats colonialistes ou racistes, l’antillais Marcus Garvey n’a jamais pu mettre le pied en Afrique. Il est mort à Londres en 1940, dans la misère et l’abandon. La vie et la pensée de Marcus Garvey ont été entièrement consacrées à l’émancipation du Peuple esclave, à sa responsabilisation en tous domaines, que ce soit à travers des entreprises politiques, économiques ou philosophiques réalisées PAR ET POUR les Noirs, que ce soit avec le retour prôné à Sion ― la Terre-Mère Afrique. Aujourd’hui, alors que l’Afrique » indépendante » subit toutes les catastrophes possibles, alors que les Africains, les Noirs de par le monde, subissent toujours les avanies du racisme et de l’exclusion, l’ceuvre panafricaniste de Marcus Garvey est à redécouvrir et à méditer
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