20 000 CFA

De l’origine égyptienne des Bakongo

Rupture de stock

Compare
362
Share

Meet The Author

Nos recherches sur les relations entre l’égyptien et le kikongo, bien qu’étendues dans le temps, n’ont pas été si difficiles en réalité. Notre tâche a été en grande partie facilitée par les travaux de Cheikh Anta Diop sur l’égyptien et le wolof, de Théophile Obenga sur l’égyptien et le mbochi, et d’Aboubacry Moussa Lam sur l’égyptien et le peul. Grâce à eux, nous n’étions jamais loin pour retrouver les formes syntaxiques et lexicales kikongo derrière l’égyptien. L’ouvrage comprend donc deux parties : une grammaire et un dictionnaire. Il constitue, nous le croyons bien, une réponse au souhait exprimé en 1974 par Serge Sauneron au colloque du Caire : « L’égyptien est une langue stable durant au moins 4500 ans. L’Égypte étant placée au point de convergence d’influences extérieures, il est normal que des emprunts aient été faits à des langues étrangères ; mais il s’agit de quelques centaines de racines sémitiques par rapport à des milliers de mots. L’égyptien ne peut être isolé de son contexte africain et le sémitique ne rend pas compte de sa naissance ; il est donc légitime de lui trouver des parents ou des cousins en Afrique » (Cité par Jean DEVISSE, « Annexe au chapitre 1 : rapport de synthèse du colloque sur “Le peuplement de l’Egypte ancienne et le déchiffrement de l’écriture méroïtique

Avis

Il n’y a pas encore d’avis.

Soyez le premier à laisser votre avis sur “De l’origine égyptienne des Bakongo”

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *