Toute la pensée symbolique d’un peuple est déterminée par les mots qu’il prononce. En Égypte antique, cette pensée symbolique a été immortalisée par un système d’écriture idéographique auquel les Grecs ont donné le nom d’hiéroglyphes. La religion égyptienne dans ses aspects funéraires, autrement dit dans ses aspects les plus intimes, est généralement envisagée à travers les grands thèmes exposés par la Passion d’Osiris. Dans cet ouvrage, Dibombari Mbock aborde un aspect moins connu: la conjuration de la maladie, de la malédiction, de la mort, et du mauvais sort en Égypte antique. Comment l’Égypte antique conçoit-elle les notions de vie éternelle, de malédiction et de bénédiction ? Toute civilisation digne de ce nom apporte des réponses, souvent ésotériques, à ces lieux communs, et cela est particulièrement vrai pour les sociétés africaines. Prenant comme témoins les Mystères d’Osiris au mois de Khoiak, cet ouvrage nous plonge dans l’univers méconnu des objets-forts malencontreusement appelés « fétiches », et de leur usage dans le contexte égyptien. Qu’est-ce que le pilier-Djed ? Que représente le cartouche royal ? Quelles idées incarne le grain personnifié par Osiris ? Que symbolise la vigne dans la main d’une divinité ? Comment Isis, Horus, Anubis et Seth interviennent-ils dans les Mystères d’Osiris au mois de Khoiak ? Le rituel de la mort et de la résurrection d’Osiris survit-il sous certaines formes dans les sociétés africaines contemporaines ? Voilà quelques questions précises auxquelles cet ouvrage apporte des réponses. Dibombari Mbock propose une vision originale de la religion égyptienne qui met en relief le caractère typiquement africain de ses us et coutumes. Dibombari Mbock est un auteur-écrivain d’origine camerounaise. Il est l’auteur de plusieurs ouvrages qui traitent du rayonnement culturel et politique de l’Égypte antique et des relations que cette civilisation entretient avec les peuples qui vivent actuellement au Sud du Sahara. Il a développé une méthode didactique pour une lecture des caractères égyptiens (hiéroglyphes) basée sur les langues africaines modernes.
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La sorcellerie en Egypte antique
Toute la pensée symbolique d’un peuple est déterminée par les mots qu’il prononce. En Égypte antique, cette pensée symbolique a été immortalisée par un système d’écriture idéographique auquel les Grecs ont donné le nom d’hiéroglyphes.
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L’école des scribes de l’Éthiopie à l’Égypte
11 000 CFAPremier fascicule pour la formation à la Méthode Kuma, la lecture des hiéroglyphes égyptiens à partir des langues africaines modernes.
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