Le 10 mars 1893, de par la volonté politique des administrateurs et des militaires, à la suite d’expéditions et missions exploratoires, la Côte d’Ivoire devient une colonie française vouée à l’exploitation. Cependant, l’évocation de la « Côte d’Ivoire et la mer », c’est d’abord un littoral sableux et rectiligne incluant 300 km de lagunes à l’est, et à l’ouest un littoral rocheux avec des caps et de magnifiques baies.
C’est ensuite la société qui évolue : ainsi, d’un recensement à l’autre, les mouvements des populations bénéficient au littoral maritime marquant de plus en plus la littoralisation de la société ivoirienne. Ce sont enfin les villes littorales qui, sortant d’une longue léthargie, rassemblent aujourd’hui la moitié des populations urbaines du pays. Ils s’y développent en plus des activités artisanales et industrielles de pêche, l’exploitation offshore des hydrocarbures et les activités ludiques.
LA NOIX DE CAJOU EN CÔTE D’IVOIRE
20 000 CFAPartant de l’origine historique de la promotion de l’anacardier en Côte d’Ivoire à son impact actuel dans l’économie ivoirienne, cet ouvrage tente de révéler les faiblesses des politiques mises en oeuvre en vue de la promotion de la noix de cajou en Côte d’Ivoire.
Devenue le leader mondial de la noix brute de cajou, la Côte d’Ivoire peine à tirer plus de profits de la chaîne de valeur du cajou.
L’auteur plaide pour une lutte plus efficace contre la pauvreté des agriculteurs de la filière cajou et propose une orientation nouvelle, plus vertueuse, des politiques en cours.
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