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AFRIQUE, L’IRRUPTION DES PAUVRES

21 000 CFA

Au cœur d’un « ordre » mondial en crise où la mort de celui qui est pauvre advient plus souvent qu’à son tour, l’auteur s’interroge – et interroge – sur les rapports qu’entretiennent les sociétés africaines avec l’Argent et le Pouvoir. Il faut « réapprendre l’Afrique », au-delà des stéréotypes inopérants qui dissimulent en fait la réalité : le continent noir est sous l’emprise du capitalisme, barbarie venu d’ailleurs. Ses paysans, ses ouvriers, ses fonctionnaires, ses intellectuels, ses commerçants, ses femmes et ses jeunes sont confrontés à la violence et au mensonge érigés en loi nationale et quotidienne par des Etats soumis à l’extérieur. La décennie présente s’achève avec l’effondrement des systèmes répressifs ainsi que des économies de rente et l’apparition de nouvelles stratégies populaires de résistance et d’innovation. Car pour survivre dans une Afrique « conjoncturée », écartée des échanges mondiaux, il faut penser et réaliser des alternatives viables avec tout le génie dont chaque homme dispose et qui a été libéré soudain par la déliquescence de l’autoritarisme. L’on assiste ainsi à « l’irruption des pauvres » sur la scène africaine. Les dynamiques « de vie » à l’œuvre dans les villes comme dans les villages sont davantage qu’une réponse à la « culture de mort » des pouvoirs agonisants. Mais au-delà de ces nouvelles formes d’avenir, il est évident que l’argent et son culte doivent être contrôlés par un Etat protecteur des faibles cette fois. Comment répartir le nouveau pouvoir et les richesses sans retomber dans l’ornière mortelle ? La démocratisation est un pas mais s’imposent tout autant des contre-pouvoirs populaires forts. Il s’agit là d’une revanche de l’homme africain sur le sort qui lui a été fait et qu’il s’est aussi fait depuis des siècles. On est donc loin de « l’afro-pessimisme » tout comme de « l’afro-optimisme » d’ailleurs en vigueur en Occident ces derniers temps.

AKÉ-ASSI LAURENT. BIOGRAPHIE DU SAVANT Comment il est devenu le génie de la brousse et des universités

31 000 CFA

Sorti prématurément du système éducatif ivoirien, avant même la fin du cycle primaire, Aké-Assi Laurent a écrit l’une des plus belles pages de la botanique taxonomique de la Côte d’Ivoire et de l’Afrique.
Aké-Assi Laurent, à 16 ans, débarque à Paris, en 1956, sans aucun diplôme en poche, pour un stage de six mois. Au terme de cette expérience, il produit un rapport qui fait sensation à l’université Paris-Sorbonne. Après une thèse de doctorat, il rentre en Côte d’Ivoire et débute sa carrière scientifique. Il parcourt les brousses du pays, récolte les plantes pour les identifier et les nommer en latin pour leur validation scientifique. Homme humble, honnête, respectueux et passionné de travail, Aké-Assi Laurent est un grand savant, un « génie de la brousse et des universités ».

Alerte sous les tropiques

11 000 CFA

L’indépendance de l’Afrique, la création d’un Etat Fédéral continental africain, l’origine africaine et négroïde de l’humanité et de la civilisation, l’origine nègre de la civilisation égypto-nubienne, l’identification des grands courants migratoires et la formation des ethnies africaines, etc., tels sont quelques thèmes principaux explorés par Cheikh Anta Diop, l’historien africain le plus considérable de ce temps.

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