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La Vérité Sur Les Hébreux Noirs D’Afrique Et Les Khazars De Palestine

8 000 CFA

Écrit expressément dans un style trivial et familier, pour faciliter la compréhension et l’étude au lecteur potentiel, ce livre dont le caractère iconoclaste est marqué par sa dextérité et qui avec force de preuves dénonce les fausses conceptions et les pensées erronées longtemps admises sur les Hébreux partant des Juifs et des Noirs, rétablit la vérité des faits. C’est au prisme de la Bible (qui fut à dessein falsifiée et mal interprétée, à maintes reprises, par des faussaires dans le but malsain d’établir un système raciste de domination) que ce manuscrit à privilégier, s’appuie sur des preuves aussi bien anthropologiques, historiques, scientifiques, géographiques que médicales, pour démontrer que la race Noire n’est point « maudite » mais plutôt bénie, d’autant plus même que plusieurs principaux personnages de la Bible, les Hébreux de la Bible notamment Adam, Moïse, David, Jésus-Christ, etc. et l’Éternel Dieu lui-même ( dans plusieurs de ses théophanies et autres apparitions et représentations), avaient indiscutablement la couleur de peau noire, et que le véritable peuple des Hébreux bibliques (les vrais Juifs) est Noir et est plus ou moins dispersé, marginalisé et spolié dans le monde entier. D’où l’imposture, l’usurpation organisée d’identité, le clonage falsificateur, la substitution comploteuse, l’expropriation honteuse par les faussaires Khazars habitant actuellement sans vergogne la terre promise d’Israël. Ce livre se veut donc un outil de prise de conscience, d’éveil, et un appel au « vrai Sionisme » permettant au peuple (ou à l’Homme) Noir de retrouver sa véritable place dans le concert des Nations et dans le plan initial de Dieu.

Le blocage historique des économies africaines

13 500 CFA

L’ouvrage analyse le « drame africain » et démontre qu’il est, avant tout, le résultat de la cristallisation des processus historiques propres aux pays africains, se traduisant par leur spécialisation rentière – pétrole, cuivre, diamant, cacao, café – modelée sous la période coloniale et qui définit la logique des Etats concernés. Le fonctionnement tributaire des sociétés précoloniales se projette aujourd’hui en une modernité dont la forme d’insertion au sein de l’économie-monde interdit tout développement « durable ».

LE CACAO PROFITE-T-IL ENCORE À LA CÔTE D’IVOIRE ?

20 000 CFA

Confronté à plusieurs défis, le cacao en Côte d’Ivoire semble jouer sa survie. La pauvreté irrationnelle des agriculteurs révèle un malaise profond dans la filière. La déforestation ainsi que les préoccupations liées au travail des enfants exposent le pays à un risque de mauvaise réputation. Le regard sous le prisme exclusivement macroéconomique des revenus actuels du cacao est à l’origine d’une pesanteur qui semble retarder la révision profonde du modèle économique du cacao. Ce livre plaide pour un regard différent sur le cacao ainsi que pour la défense des fermiers, les seuls à ne pas profiter réellement du fruit de leur travail.

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