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LES AKAN PEUPLES ET CIVILISATIONS

47 000 CFA

Les populations des côtes de l’or et quaqua ainsi que de leurs arrière-pays, ont été appelées Akan. C’est à juste titre, car elles partagent des us et coutumes semblables, des institutions politiques et sociales identiques, avec parfois des particularités locales. Elles partagent une culture commune qui tire ses racines dans un héritage ancestral partagé.

LES AKHAN ET L’EGYPTE PHARAONIQUE

15 000 CFA

La civilisation de l’Egypte antique apparait comme la achevée et la plus fascinante que l’humanité ait connue. Penser qu’elle ait été créer par des noirs était considérer comme une hérésie. Les travaux de Pr Cheikh Anta Diop ont révélés l’origine Noire des pharaons et relancé le débat sur l’apport des Noirs à l’évolution de l’humanité , en dehors de l’esclavage.

Les Basa du Cameroun et l’antiquité pharaonique Égypto-Nubienne

43 000 CFA

A l’instar des travaux scientifiques de c. A. Diop relatifs a la reconstruction de l’histoire des peuples africains, l’étude soutient l’existence de liens historiques étroits et multiformes, d’un fond et d’un continuum culturels communs, ainsi que d’une parente linguistique de type génétique entre les basa, groupe bantu du sud-Cameroun, et l’ancienne civilisation pharaonique égypto-nubienne, en termes non pas de diffusion, mais de foyer commun. Cette conclusion, qui résulte d’une démarche pluridisciplinaire, s’appuie sur un faisceau de preuves concordantes, a savoir des faits culturels et linguistiques saillants établis a partir de sources aussi diverses que l’ethnonymie, la toponymie, les traditions orales, la mythologie comparée, l’histoire, la linguistique comparative, l’archéologie, l’art préhistorique saharien, la critique littéraire et l’égyptologie. L’étude est articulée en trois parties. Premièrement, l’histoire et la géographie des contacts qui, aussi bien dans le cadre général du peuplement de la vallée du Nil et de l’Afrique subsaharienne que spécifique des migrations bantu, révèlent des populations en mouvement. Deuxièmement, la linguistique comparée ou l’auteur se prévaut tout d’abord des travaux précurseurs et peu cites de certains linguistes et egyptologues (k. Meinhof, j. Capart, r. Cottevieille-giraudet, h. P. Blok, f. Daumas, entre autres) pour légitimer la comparaison entre l’égyptien ancien et les autres langues africaines modernes, avant de preciser sa methode qui, différente de celles de th. Obenga et de j. Greenberg, consiste a conjuguer les rapprochements directs et indirects (a l’aide du proto-bantu), tout en établissant des correspondances régulières a partir d’un large échantillon comportant le vocabulaire de base, le lexique culturel et les lexiques spécialisés. Les résultats probants ainsi obtenus (lexicaux et grammaticaux), nettement supérieurs (en quantité et en qualité) a ceux habituellement invoques en faveur d’une parente egypto-semitique étroite, impliquent et fondent la remise en cause de la pertinence de la famille dite afro-asiatique, tout autant que la prétendue non-représentation des voyelles dans l’écriture hiéroglyphique. Troisièmement, les faits de civilisation et les phénomènes de pensée (techniques, institutions, loisirs, etc) ou sont mises en évidence de nombreux parallèles et d’étroites parentes

Les cultures africaines dans le champ de la rationalité scientifique. Livre II

16 000 CFA

Dans la mesure où l’humanité est en quête des savoirs de toutes les cultures, il faut s’interroger sur le modèle de mondialisation des savoirs à construire en faisant place aux acteurs de la science situés dans les contextes culturels différents. Dans tout rapport au savoir, il s’agit de prendre en compte la négation de ce qui, à travers l’invasion des paradigmes d’Occident, donne sens et valeur à la vie. Le scientifique africain doit veiller à construire une nouvelle cohérence

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