• 0 Items - CFA
    • No products in the cart.

Histoire

LE ROI KHOUFOU ET SES MAGICIENS, CONTES DE L’ÉGYPTE ANCIENNE

14 000 CFA

« Le roi Khoufou et ses magiciens, Contes de l’Égypte ancienne » illustré est un recueil de contes africains dont la composition remonte à environ 2000 ans avant la naissance du Christ.

Mais les histoires racontées sont censées s’être déroulées quelque 500 ans auparavant, au temps des rois Nebka, Djoser, Snefrou et du roi régnant d’alors, Khoufou.

En mal de divertissement, le roi Khoufou convoque ses enfants pour que ceux-ci lui racontent des histoires merveilleuses, afin de le distraire.

Ces histoires nous donnent à connaître différentes prouesses de magiciens des temps anciens : L’un d’entre eux sait transformer un crocodile de cire en un crocodile vivant ; un autre sait séparer les eaux d’un lac en deux ; un dernier considéré alors comme le magicien le plus réputé du pays, non seulement cet homme sait couper une tête et la remettre en place, mais il sait aussi prédire l’avenir.

LES AKAN PEUPLES ET CIVILISATIONS

47 000 CFA

Les populations des côtes de l’or et quaqua ainsi que de leurs arrière-pays, ont été appelées Akan. C’est à juste titre, car elles partagent des us et coutumes semblables, des institutions politiques et sociales identiques, avec parfois des particularités locales. Elles partagent une culture commune qui tire ses racines dans un héritage ancestral partagé.

Les Basa du Cameroun et l’antiquité pharaonique Égypto-Nubienne

43 000 CFA

A l’instar des travaux scientifiques de c. A. Diop relatifs a la reconstruction de l’histoire des peuples africains, l’étude soutient l’existence de liens historiques étroits et multiformes, d’un fond et d’un continuum culturels communs, ainsi que d’une parente linguistique de type génétique entre les basa, groupe bantu du sud-Cameroun, et l’ancienne civilisation pharaonique égypto-nubienne, en termes non pas de diffusion, mais de foyer commun. Cette conclusion, qui résulte d’une démarche pluridisciplinaire, s’appuie sur un faisceau de preuves concordantes, a savoir des faits culturels et linguistiques saillants établis a partir de sources aussi diverses que l’ethnonymie, la toponymie, les traditions orales, la mythologie comparée, l’histoire, la linguistique comparative, l’archéologie, l’art préhistorique saharien, la critique littéraire et l’égyptologie. L’étude est articulée en trois parties. Premièrement, l’histoire et la géographie des contacts qui, aussi bien dans le cadre général du peuplement de la vallée du Nil et de l’Afrique subsaharienne que spécifique des migrations bantu, révèlent des populations en mouvement. Deuxièmement, la linguistique comparée ou l’auteur se prévaut tout d’abord des travaux précurseurs et peu cites de certains linguistes et egyptologues (k. Meinhof, j. Capart, r. Cottevieille-giraudet, h. P. Blok, f. Daumas, entre autres) pour légitimer la comparaison entre l’égyptien ancien et les autres langues africaines modernes, avant de preciser sa methode qui, différente de celles de th. Obenga et de j. Greenberg, consiste a conjuguer les rapprochements directs et indirects (a l’aide du proto-bantu), tout en établissant des correspondances régulières a partir d’un large échantillon comportant le vocabulaire de base, le lexique culturel et les lexiques spécialisés. Les résultats probants ainsi obtenus (lexicaux et grammaticaux), nettement supérieurs (en quantité et en qualité) a ceux habituellement invoques en faveur d’une parente egypto-semitique étroite, impliquent et fondent la remise en cause de la pertinence de la famille dite afro-asiatique, tout autant que la prétendue non-représentation des voyelles dans l’écriture hiéroglyphique. Troisièmement, les faits de civilisation et les phénomènes de pensée (techniques, institutions, loisirs, etc) ou sont mises en évidence de nombreux parallèles et d’étroites parentes

1 6 7 8 10