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Histoire

Neter, Dieux d’Egypte

36 000 CFA

Chaque grand dieu est analysé en détail (64 chapitres avec 79 dieux principaux) : son nom (avec son hiéroglyphe), son étymologie, l’autoprésentation du dieu à travers ses épithètes, ses aspects (formes, attributs, couleurs, éléments, animaux sacrés), son culte (géographie sacrée et fêtes), ses relations (parenté et associations), ses fonctions, et ses mythes. Le dessin du dieu en pleine page fait face à son nom.

PELASGIA

13 000 CFA

Les récits et autres testaments historiques des anciens européens ( hérodote, Diodore de sicile, Hésiode, Eschyde, Bacchylide, etc.) et les récents tests ADN effectués sur les populations actuelles, dévoilent que c’est bien une population d’ascendance africaine qui a fait germer les premières civilisations sur le continent européen. Cela, bien avant l’invasion des nomades Caucasiens (originaires du Lac Baïkal tout d’abord, puis du Caucase), à une époque où le continent nordique portait, de l’aveu de tous, le nom de Pélasgia !

Pourquoi un tel silence sur cette page d’histoire ? l’auteur de la collection « Black Athena « , à savoir Martin Bernal, explique qu’en raison du contexte idéologique qui sévissait en Europe à l’époque des « Lumières », il fallait éliminer la vision antique d’une Grèce civilisée par les Egyptiens et les Phéniciens parce qu’elle offensait la loi de la « Science des races » (…) L’incrédulité des savants modernes a été nettement renforcée aussi par leur difficulté à admettre qu’une armée africaine civilisée ( conquête du Pharaon Senousrit Ier, XIIème dynastie) ait pu faire des conquêtes importantes non seulement en Asie du sud-ouest mais même en Europe. C’était un camouflet pour le racisme systématique du XIXème et du XX ème siècle.

Le nom même du continent, à savoir « Europe », est celui d’une princesse africaine dont le père Agénor était né en Afrique. N.K.Omotunde souhaite aujourd’hui vous inviter à découvrir cette histoire ancienne du continent nordique, qui est aussi celle de nos ancêtres kamits.

Rituels funéraires de l’Ancienne Egypte

35 000 CFA

L’attitude de l’homme face à la mort n’a guère changé au fil des temps. La question demeure posée de savoir ce qu’il y a au-delà. Cette préoccupation n’a pas échappé aux anciens habitants de la Vallée du Nil et leurs écrits funéraires témoignent du souci qu’ils ont eu d’y répondre. À travers eux, il est désormais possible de mieux comprendre l’idée qu’ils se faisaient de la survie dans l’Autre-Monde et, surtout, d’éclairer d’un jour nouveau les raisons profondes de la momification et des rites magiques et religieux qui accompagnaient les cérémonies de funérailles que tant de voyageurs ont souvent vus, sans pouvoir les comprendre, aux parois des tombeaux et des temples.

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