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Homme et société

La femme au temps des pharaons

23 000 CFA

Cette Égypte qui nous fascine avec ses pharaons légendaires, ses sarcophages d’or et ses pyramides mystérieuses s’est-elle faite avec ou sans les femmes ? Avec, répond Christiane Desroches Noblecourt au terme d’un impressionnant travail de recherche et de décryptage. Rempli d’anecdotes inattendues, d’histoires parfois cocasses, de faits divers, d’intrigues, et de légendes cosmiques, La femme au temps des Pharaons donne une vision nouvelle et plus familière d’une époque dont on n’avait jusqu’alors que l’image impériale et grandiose.

Le sanvi tome 2

22 000 CFA

Cette étude vise deux objectifs à la fois complémentaires et relativement autonomes : innover dans le domaine de la méthodologie et enrichir les connaissances historiques sur cette partie du Golf de Guinée. A partir de documents essentiellement oraux, l’auteur a réussi ,par une démarche scientifiques rigoureuse, à combler les lacunes, à corriger et à compléter les informations

AFRIQUE, L’IRRUPTION DES PAUVRES

21 000 CFA

Au cœur d’un « ordre » mondial en crise où la mort de celui qui est pauvre advient plus souvent qu’à son tour, l’auteur s’interroge – et interroge – sur les rapports qu’entretiennent les sociétés africaines avec l’Argent et le Pouvoir. Il faut « réapprendre l’Afrique », au-delà des stéréotypes inopérants qui dissimulent en fait la réalité : le continent noir est sous l’emprise du capitalisme, barbarie venu d’ailleurs. Ses paysans, ses ouvriers, ses fonctionnaires, ses intellectuels, ses commerçants, ses femmes et ses jeunes sont confrontés à la violence et au mensonge érigés en loi nationale et quotidienne par des Etats soumis à l’extérieur. La décennie présente s’achève avec l’effondrement des systèmes répressifs ainsi que des économies de rente et l’apparition de nouvelles stratégies populaires de résistance et d’innovation. Car pour survivre dans une Afrique « conjoncturée », écartée des échanges mondiaux, il faut penser et réaliser des alternatives viables avec tout le génie dont chaque homme dispose et qui a été libéré soudain par la déliquescence de l’autoritarisme. L’on assiste ainsi à « l’irruption des pauvres » sur la scène africaine. Les dynamiques « de vie » à l’œuvre dans les villes comme dans les villages sont davantage qu’une réponse à la « culture de mort » des pouvoirs agonisants. Mais au-delà de ces nouvelles formes d’avenir, il est évident que l’argent et son culte doivent être contrôlés par un Etat protecteur des faibles cette fois. Comment répartir le nouveau pouvoir et les richesses sans retomber dans l’ornière mortelle ? La démocratisation est un pas mais s’imposent tout autant des contre-pouvoirs populaires forts. Il s’agit là d’une revanche de l’homme africain sur le sort qui lui a été fait et qu’il s’est aussi fait depuis des siècles. On est donc loin de « l’afro-pessimisme » tout comme de « l’afro-optimisme » d’ailleurs en vigueur en Occident ces derniers temps.

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