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Homme et société

Qu’est-ce qu’être Kamit(e)

9 500 CFA

Il faudra bien un jour ou l’autre, que nous nous posions cette question cruciale afin de sortir du cadre de l’aliénation culturelle et de copie civilisationnelle étrangère.

Car si nous voulons réussir un jour à nous défaire de toutes les tutelles intellectuelles, culturelles et spirituelles extra-kamites (c’est à dire non africaines) et parvenir à penser par nous-mêmes et pour nous-même, il nous faudra nécessairement trouver une réponse juste et rationnelle à cette question.

En explorant la dynamique kamite, Jean Philippe Omotunde vous invite à découvrir les idéaux et les pensées qui animent aujourd’hui les kamits du monde entier. C’est-à-dire ceux qui ont choisi de faire des expériences humaines et du savoir de leurs ancêtre africains, le centre référenciel de leur pensée et de leur paradigme.

En étudiant nos Humanités Classique Kamites et en nous réorientant vers notre continent, il s’agit pour nous d’affirmer notre volonté à être les dignes fils et filles des guides de l’humanité qui ont vécu en Afrique noire, à l’aube de la civilisation.

Chercheur en histoire et enseignement à l’Institut Africamaat, Jean Philippe Omotunde œuvre pour promouvoir les Humanités Classiques Africaines. Afro-Caribéen originaire de la Guadeloupe, il est l’auteur de divers ouvrages publiés aux éditions Menaibuc, donc le dessein est de combattre la marginalisation systématique de l’Afrique noire et du monde panafricain, du cours de l’Histoire intellectuelle, spirituelle et scientifique de l’humanité.

QUAND L’AFRICAIN ÉTAIT L’OR NOIR DE L’EUROPE. L’AFRIQUE : ACTRICE OU VICTIME DE LA TRAITE DES NOIRS ?

32 000 CFA

Démontage des mensonges et de la falsification de l’histoire de l’hydre des razzias négrières transatlantiques

Toute l’histoire des razzias négrières transatlantiques tourne autour de la réalité des rapports entre l’Europe d’hier, l’Occident d’aujourd’hui et l’Afrique Noire.

C’est dire que la réponse qui en découle tout naturellement, éclaire de mille éclats de la vérité, cette page tragique de l’histoire de l’Afrique et du Peuple Noir.

Cette tragédie sur laquelle, jusqu’alors, l’Occident s’est, par les diverses formes de terrorisme dont il a l’art du secret et le secret de l’art, réservé le monopole de la narration, et fait de l’Histoire des razzias négrières transatlantiques, non pas une science, mais une idéologie.

Un droit de regard exclusif par lequel il s’est institué juge, partie, jury et au surplus exécuteur testamentaire pour la partie du Peuple Noir qu’il a kidnappée par sa violence atavique.

Puis, drapé dans un dédain conféré par la loi des armes, il a décrété que la violence faite quatre siècles durant à l’Afrique Noire et à ses enfants déportés et transformés en bêtes de somme pour son bien-être et son confort, ne mérite ni repentir ni réparation de sa part.

RESTITUER L’HISTOIRE AUX SOCIÉTÉS AFRICAINES

11 000 CFA

L’Afrique a suscité de nombreuses recherches depuis la fin du XIXe siècle. Mais peu d’enquêtes de terrain ont porté sur les transformations des sociétés africaines. Si l’on veut sortir le Continent noir du musée des connaissances européennes, il faut promouvoir au sein des universités africaines l’enseignement des sciences sociales qui assument le poids du présent, avec les tensions et conflits, les crises et mutations qui s’imposent à l’observation. Qu’ils soient sociologues, anthropologues, historiens ou politistes, etc… les analystes indigènes ont un grand rôle à jouer pour la redéfinition de l’Afrique dans le système-monde. En rejoignant leur peuple dans ses lieux d’invention, ils aident à restituer l’Histoire aux Africains. A travers l’étude du quotidien et de l’actuel, ils lui permettent de « se penser » et de progresser. Au moment où l’Afrique est un enjeu de la connaissance, l’auteur plaide pour une mise en cause et un renouvellement des savoirs. Il trace un projet d’implantation concrète des structures pédagogiques à partir du matériau humain et des réalités socio-économiques des pays africains.

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