Afin de jouir d’une vie de couple pleinement épanouie et réussie (Kete Pa), dans la durabilité, notre Culture préconise non pas la pratique de l’excision quelle que soit sa forme, mais bien la méthode du Gukuna. Cette dernière technique avait pour objectif de permettre aux deux partenaires engagés d’atteindre, dans le rapport sexuel, le maximum de jouissance possible, le maximum d’orgasme qui conduisait assurément, pour la femme notamment, à ladite éjucation féminine (Kunyaza).
Cette technique multimillénaire d’expansion sexuelle que représente le Gukuna, qui consiste dans l’étirement clitorien et vulvaire, est la preuve irréfutable que nos Ancêtres n’ont jamais mutilé le sexe féminin, et encore castré celui masculin.
La savante démonstratin qui suit, à la suite des travaux déjà menés par l’auteur sur la question des agression sexuelles, est un complément d’informations sur la thèse acquise de l’origine non « africaine » des mutilations génitales féminines. Elle aborde la question de la condition sexuelle féminine, en montrant qu’avec le Gukuna, cette antithèse de l’excision, l’épanouissement sexuel de la femme est totalement garanti et sans cesse accru ; tandis qu’avec l’excision, le pouvoir sexuel féminin est amoindri, mutilé, éteint.
Ce travail est un plaidoyer pour un retour au Gukuna et à toute la science qui l’entoure…
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