L’histoire est-elle « le plus dangereux produit que la chimie de l’intellect ait pu élaborer » (Paul Valéry)? Convient-il, au contraire, de « la mettre au nombre des plus hautes vocations auxquelles puisse se consacrer un homme » (H.-I. Marrou)? Entre ces deux affirmations contradictoires notre choix est fait. Nous savons que l’histoire est une science difficile, condamnée à n’atteindre que par des chemins malaisés une vérité toujours relative
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Les cultures africaines dans le champ de la rationalité scientifique. Livre II
16 000 CFADans la mesure où l’humanité est en quête des savoirs de toutes les cultures, il faut s’interroger sur le modèle de mondialisation des savoirs à construire en faisant place aux acteurs de la science situés dans les contextes culturels différents. Dans tout rapport au savoir, il s’agit de prendre en compte la négation de ce qui, à travers l’invasion des paradigmes d’Occident, donne sens et valeur à la vie. Le scientifique africain doit veiller à construire une nouvelle cohérence
AKÉ-ASSI LAURENT. BIOGRAPHIE DU SAVANT Comment il est devenu le génie de la brousse et des universités
31 000 CFASorti prématurément du système éducatif ivoirien, avant même la fin du cycle primaire, Aké-Assi Laurent a écrit l’une des plus belles pages de la botanique taxonomique de la Côte d’Ivoire et de l’Afrique.
Aké-Assi Laurent, à 16 ans, débarque à Paris, en 1956, sans aucun diplôme en poche, pour un stage de six mois. Au terme de cette expérience, il produit un rapport qui fait sensation à l’université Paris-Sorbonne. Après une thèse de doctorat, il rentre en Côte d’Ivoire et débute sa carrière scientifique. Il parcourt les brousses du pays, récolte les plantes pour les identifier et les nommer en latin pour leur validation scientifique. Homme humble, honnête, respectueux et passionné de travail, Aké-Assi Laurent est un grand savant, un « génie de la brousse et des universités ».
L’Afrique noire berceau de la médecine et de la chirurgie
12 000 CFAIl y a près de 6000 ans, la société et l’État pharaonique ont œuvré pour organiser méthodologiquement la santé de toute la population. Dès lors, L’Afrique noire de la période antique édifia des centres de vie, des facultés de médecine, des cliniques mais encore les premiers dispensaires de l’histoire humaine ainsi que les premiers traités de spécialité médicales (cardiologie, gynécologie, ophtalmologie, chirurgie, neurochirurgie, etc…). Cela démontre la place très importante accordée aux savoirs médicaux.
Bien avant la médecine grecque, la science médicale africaine était réputée jusqu’au Proche-Orient. De là, de nombreux malades venaient se faire soigner, des étudiants orientaux migraient pour recevoir l’enseignent des praticiens, tout comme divers lettrés, pour s’y perfectionner. ce fut aussi le cas des Grecs, tel Hippocrate.
Il s’agissait d’un métier hiérarchisé avec les médecins du palais impérial et ceux des centres publics de vie appelés « dispensaires » de nos jours.
Il existait ainsi en Afrique noire pharaonique, des médecins généralistes, des médecins spécialiste de divers instruments et des chirurgiens réputés.
C’est donc tout cet univers encore méconnu, que l’ouvrage de l’ouvrage de l’auteur Kwadwo Fernand DOBAT-CHAULEAU vous invite sans plus attendre à découvrir, afin de remettre l’histoire universelle dans le bon sens.
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