Ne doit-on pas préserver l’héritage culturel ancestral, trésor de savoirs transmis de génération en génération et issus d’un temps où les hommes et les mondes invisibles entretenaient un dialogue naturel et sacré ? Au travers de souvenirs d’enfance, l’auteur dévoile l’éducation traditionnelle en vigueur dans sa communauté des forgerons du village de Soko, en Côte d’Ivoire.
Souhaitant préserver la valeur symbolique et pratique de cet héritage, il nous ouvre un univers intime empreint de réflexions sur l’éducation et les sources de la forge.
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