Suite de « Zaïre et Théophile, Pas de pitié pour les nègres ! ». Ce roman met en évidence une des pages les plus sombres de l’histoire de la Martinique. Il décrit la manière dont les esclavagistes soutenus par l’Etat ont conçu et imposé leur vision de la liberté aux anciens nègres. Il évoque le simulacre de l’abolition de l’esclavage en 1848, l’injustice et la pression insupportables exercées sur le peuple condamné à la souffrance et à la misère jusqu’à la sanglante insurrection du Sud en 1871. Voici l’histoire de milliers de vakabon et de vakabòn, qui se sont frayé un chemin de liberté à travers les mailles serrées d’un projet conçu contre eux, sans eux. Les vakabon, héros et Mèt Piès de cette histoire, ont écrit quelques-unes des plus belles et douloureuses pages dans le grand livre d’Histoire de l’humanité. Suivi de « Les décrets liberticides de l’abolition » : morceaux choisis des principaux décrets et lois, qui ont maintenu anciens nègres et négresses en servitude, après l’abolition. CATEGORIE : ROMAN HISTORIQUE Auteur : Imaniyé Dalila Daniel Editeur : DKM Éditions
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QUAND L’AFRICAIN ÉTAIT L’OR NOIR DE L’EUROPE. L’AFRIQUE : ACTRICE OU VICTIME DE LA TRAITE DES NOIRS ?
32 000 CFADémontage des mensonges et de la falsification de l’histoire de l’hydre des razzias négrières transatlantiques
Toute l’histoire des razzias négrières transatlantiques tourne autour de la réalité des rapports entre l’Europe d’hier, l’Occident d’aujourd’hui et l’Afrique Noire.
C’est dire que la réponse qui en découle tout naturellement, éclaire de mille éclats de la vérité, cette page tragique de l’histoire de l’Afrique et du Peuple Noir.
Cette tragédie sur laquelle, jusqu’alors, l’Occident s’est, par les diverses formes de terrorisme dont il a l’art du secret et le secret de l’art, réservé le monopole de la narration, et fait de l’Histoire des razzias négrières transatlantiques, non pas une science, mais une idéologie.
Un droit de regard exclusif par lequel il s’est institué juge, partie, jury et au surplus exécuteur testamentaire pour la partie du Peuple Noir qu’il a kidnappée par sa violence atavique.
Puis, drapé dans un dédain conféré par la loi des armes, il a décrété que la violence faite quatre siècles durant à l’Afrique Noire et à ses enfants déportés et transformés en bêtes de somme pour son bien-être et son confort, ne mérite ni repentir ni réparation de sa part.
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