Hiéroglyphes : les bases
7 000 CFAUn cahier d’écriture adressé aux débutants afin d’apprendre à tracer les hiéroglyphes de base avec des exercices, des entraînements spécifiques et leurs corrigés. Avec une introduction à l’égyptien hiéroglyphique.
L’Afrique dans la philosophie
12 000 CFACe livre que voici, le premier, de notre collègue Yoporeka SOMET, est une forte profession de foi philosophique, autant qu’une entreprise pédagogique heureuse, celle d’exposer didactiquement la philosophie de l’Égypte pharaonique …
Cinquante ans après la publication de Nations nègres et culture, vibration sismique continue, le paysage intellectuel africain, ainsi que l’avait prévu Cheikh Anta DIOP lui-même, est très éclairci et, sans aucun doute, des plus rassurants.
La philosophie africaine, argumente SOMET, doit commencer par mettre l’Afrique dans la philosophie, c’est-à-dire commencer par le commencement pour apercevoir nettement toutes les longues durées de la philosophie africaine en Afrique et dans le monde. Travailler sans cadre temporel assignable, c’est cultiver les préjugés de la « mentalité primitive ».
Comment les cercles philosophiques d’Héliopolis, de Hermopolis, de Memphis et de Thèbes, expliquent-ils le Réel ? Où sont les textes explicites ? Comment les lire et les entendre comme « philosophie » ? Et quelle philosophie ? La clarté et la précision de SOMET par rapport à ces questions sont étonnantes.
Avec le même souci pédagogique – une constance intellectuelle chez SOMET -, le chapitre sur « la pensée morale égyptienne » est, en soi, une parfaite pyramide pharaonique. Le sens est perçu et commenté, – le sens qui fait que dans les Champs osiriens les âmes des Bienheureux jouissent de la sainteté divine à tout jamais. Les philosophes et moralistes de l’Égypte pharaonique ont développé l’Éthique humaine longtemps bien avant la courte période qui va de Jésus à nos jours.
L’Art pharaonique tient du divin. PLATON, le premier, l’a consigné dans ses Lois, après son voyage d’étude dans la vallée du Nil. Yoporeka SOMET confirme avec, en plus, l’analyse de l’égyptologue.
La philosophie n’est pas un loisir intellectuel et universitaire en dehors de la Cité. Yoporeka SOMET invite ses compatriotes africains, notamment les jeunes en formation, à s’installer « à l’intérieur de la philosophie », c’est-à-dire de la Réflexion sérieuse, autonome, radicale, pour que le Sens ait lieu, pour que la Vie change. Il y a l’urgence africaine d’« un nouveau paradigme », affirme-t-il, lucidement. En tout état de cause, le livre de SOMET, philosophe et égyptologue africain du Burkina Faso, est riche, clair, bien documenté, utile et nécessaire.
HYMNES ET PRIERES KAMITS
13 000 CFACe nouvel ouvrage passionnant de Jean Philippe OMOTUNDE nous plonge dans la spiritualité kamite de l’Afrique pharaonique et nous invite à découvrir de formidables hymnes et de puissantes prières élaborés par nos ancêtres pour rendre hommage à Amon-Râ (Dieu) et louer ses bienfaits. Ces prières tirées des Textes Sacrés kamits (Bible kamite), ont été rédigées dès le IIIème millénaire avant l’ère chrétienne et sont par conséquent, les plus anciens textes religieux de l’histoire humaine. Chose particulière, ils affirment déjà l’unicité de Dieu (appelé l’Eternel, le Créateur, le Maître de l’Univers…) et la promesse de la vie éternelle réservée aux hommes vertueux.
Ce sont donc les premières prières qui ont été entendues et exaucées par Dieu, après la création de l’homme et de la femme noire dans la Région des Grands lacs africains (NB. Dans la tradition kamite, la femme n’est pas issue de la côte de l’homme mais est elle aussi, le fruit d’une création divine). Ces hymnes évoquent encore la grande piété des Africains anciens, mais aussi dévoilent les véritables sources cachées des rédacteurs des Livres monothéistes actuels (Judaïsme, Islam et Christianisme).
L’ouvrage révèle enfin aux profanes, l’existence d’Ousirê (Osiris) et de sa femme Aset (Isis), les premiers guides divins envoyés par Dieu sur terre pour guider l’humanité vers la Maât (ancêtre de l’Esprit Saint). En effet, si dans les traditions sémitiques et indo-européennes, Dieu a confié à un homme seul la mission d’instruire ses créatures, en Afrique noire, il avait à l’origine confié cette mission à un couple divin, en privilégiant la complémentarité et l’unité homme/femme.
LE ROI KHOUFOU ET SES MAGICIENS, CONTES DE L’ÉGYPTE ANCIENNE
14 000 CFA« Le roi Khoufou et ses magiciens, Contes de l’Égypte ancienne » illustré est un recueil de contes africains dont la composition remonte à environ 2000 ans avant la naissance du Christ.
Mais les histoires racontées sont censées s’être déroulées quelque 500 ans auparavant, au temps des rois Nebka, Djoser, Snefrou et du roi régnant d’alors, Khoufou.
En mal de divertissement, le roi Khoufou convoque ses enfants pour que ceux-ci lui racontent des histoires merveilleuses, afin de le distraire.
Ces histoires nous donnent à connaître différentes prouesses de magiciens des temps anciens : L’un d’entre eux sait transformer un crocodile de cire en un crocodile vivant ; un autre sait séparer les eaux d’un lac en deux ; un dernier considéré alors comme le magicien le plus réputé du pays, non seulement cet homme sait couper une tête et la remettre en place, mais il sait aussi prédire l’avenir.
L’origine biblique du racisme anti-noir
11 000 CFAL’auteur met en avant notamment la malédiction de Cham pour relire l’Ancien Testament à la lumière d’une discrimination qu’il estime volontaire, pour procéder ensuite à une histoire de la justification de fait de l’esclavage
Manuel d’études des Humanités Classiques Africaines tome 1
11 500 CFATout peuple possède ses propres Humanités Classiques qui contribuent à forger son Paradigme (identité culturelle, valeurs civilisationnelle et cadre intellectuel). L’étude de celle-ci englobe l’examen méthodologie de ses productions scientifiques, techniques, littéraires, philosophiques et artistiques ancestrales, sans oublier le domaine des Sciences Social (us et coutumes, spiritualité, cultures et traditions).
La philosophie africaine
13 500 CFADans le présent essai, il est question de réhabiliter la pensée philosophique africaine dont le fond discursif procède de l’ordre de l’Univers inscrit dans les mythes et rapporté, pour la circonstance, à toutes les connaissances : économie, droit, politique, religion, morale, architecture, art, astronomie, écologie, mines, etc. Car, les savants de Kemet ont formulé une unité des connaissances fondée sur l’ordre de l’Univers entrevu ici comme un référent indépassable par toute autre forme de rationalité.
Maat la théorie du tout Essai sur la vérité générale de l’univers
11 500 CFAD’entrée de jeu, Mbog BASSONG précise que la première théorie cosmologique est née sur les bords du Nil et qu’on ne peut comprendre la portée théorique des acquis de la science africaine sans lui donner une assise historique bien plus profonde. Son objectif est de reconsidérer la cohérence, la pertinence et la compétence des modèles théoriques africains dissipés dans les mythes de régulation sociale qui font écho aux déterminations universelles. Il est ici question de science, de philosophie et d’organisation des sociétés africaines pré coloniales. Les sources ontologiques du savoir sont interrogées, mais aussi les fondements théoriques qui en résultent aux fins de saisir, autant que faire se peut, l’objectif d’unité de forme et de méthode qui a sous-tendu la maîtrise du savoir. Le problème qui se pose dans le présent essai ne touche pas seulement à l’efficacité pratique de la science « sacrée ». Il concerne aussi la théorie cosmologique, la théorie du tout de Kemet dont la portée est capitale sur le plan de la philosophie et surtout, de l’épistémologie qui, seule, peut réorienter la physique moderne prise dans l’étau d’une complexification mathématique de ses théories. Enfin, l’auteur montre en quoi la théorie cosmologique ou encore la théorie du tout, telle que formalisée par les savants, sages et initiés de Kemet s’inscrit dès lors comme un idéal. # Biographie : Mbog Bassong est en service au Ministère de la Culture (Yaoundé-Cameroun). Géologue de formation, Météoricien et Planétologue, il a appronfondit la réflexion sur les rapports entre les sciences de l’univers et la régultation des sociétés humaines. Il est en outre, Mbombog, initié dans l’ordre du Mbog chez les Bassa du Cameroun.
Neter, Dieux d’Egypte
36 000 CFAChaque grand dieu est analysé en détail (64 chapitres avec 79 dieux principaux) : son nom (avec son hiéroglyphe), son étymologie, l’autoprésentation du dieu à travers ses épithètes, ses aspects (formes, attributs, couleurs, éléments, animaux sacrés), son culte (géographie sacrée et fêtes), ses relations (parenté et associations), ses fonctions, et ses mythes. Le dessin du dieu en pleine page fait face à son nom.