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HYMNES ET PRIERES KAMITS

13 000 CFA

Ce nouvel ouvrage passionnant de Jean Philippe OMOTUNDE nous plonge dans la spiritualité kamite de l’Afrique pharaonique et nous invite à découvrir de formidables hymnes et de puissantes prières élaborés par nos ancêtres pour rendre hommage à Amon-Râ (Dieu) et louer ses bienfaits. Ces prières tirées des Textes Sacrés kamits (Bible kamite), ont été rédigées dès le IIIème millénaire avant l’ère chrétienne et sont par conséquent, les plus anciens textes religieux de l’histoire humaine. Chose particulière, ils affirment déjà l’unicité de Dieu (appelé l’Eternel, le Créateur, le Maître de l’Univers…) et la promesse de la vie éternelle réservée aux hommes vertueux.

Ce sont donc les premières prières qui ont été entendues et exaucées par Dieu, après la création de l’homme et de la femme noire dans la Région des Grands lacs africains (NB. Dans la tradition kamite, la femme n’est pas issue de la côte de l’homme mais est elle aussi, le fruit d’une création divine). Ces hymnes évoquent encore la grande piété des Africains anciens, mais aussi dévoilent les véritables sources cachées des rédacteurs des Livres monothéistes actuels (Judaïsme, Islam et Christianisme).

L’ouvrage révèle enfin aux profanes, l’existence d’Ousirê (Osiris) et de sa femme Aset (Isis), les premiers guides divins envoyés par Dieu sur terre pour guider l’humanité vers la Maât (ancêtre de l’Esprit Saint). En effet, si dans les traditions sémitiques et indo-européennes, Dieu a confié à un homme seul la mission d’instruire ses créatures, en Afrique noire, il avait à l’origine confié cette mission à un couple divin, en privilégiant la complémentarité et l’unité homme/femme.

LA RUÉE COMMERCIALE SUR LA CÔTE D’OR ET LA CÔTE DES QUAQUA

13 000 CFA

Cette contribution se fixe pour objectif de vulgariser, à partir de l’historiographie contemporaine, mais aussi et surtout des sources européennes moins connues, l’information sur l’environnement des lieux d’échanges entre Européens et Africains, l’organisation sociale et politique, la vie économique et culturelle des Africains vivant sur la Côte des Quaqua et la Côte de l’Or – l’actuel rivage ivoirien et celui du Ghana – entre le XVe et le XVIIIe siècle.

PELASGIA

13 000 CFA

Les récits et autres testaments historiques des anciens européens ( hérodote, Diodore de sicile, Hésiode, Eschyde, Bacchylide, etc.) et les récents tests ADN effectués sur les populations actuelles, dévoilent que c’est bien une population d’ascendance africaine qui a fait germer les premières civilisations sur le continent européen. Cela, bien avant l’invasion des nomades Caucasiens (originaires du Lac Baïkal tout d’abord, puis du Caucase), à une époque où le continent nordique portait, de l’aveu de tous, le nom de Pélasgia !

Pourquoi un tel silence sur cette page d’histoire ? l’auteur de la collection « Black Athena « , à savoir Martin Bernal, explique qu’en raison du contexte idéologique qui sévissait en Europe à l’époque des « Lumières », il fallait éliminer la vision antique d’une Grèce civilisée par les Egyptiens et les Phéniciens parce qu’elle offensait la loi de la « Science des races » (…) L’incrédulité des savants modernes a été nettement renforcée aussi par leur difficulté à admettre qu’une armée africaine civilisée ( conquête du Pharaon Senousrit Ier, XIIème dynastie) ait pu faire des conquêtes importantes non seulement en Asie du sud-ouest mais même en Europe. C’était un camouflet pour le racisme systématique du XIXème et du XX ème siècle.

Le nom même du continent, à savoir « Europe », est celui d’une princesse africaine dont le père Agénor était né en Afrique. N.K.Omotunde souhaite aujourd’hui vous inviter à découvrir cette histoire ancienne du continent nordique, qui est aussi celle de nos ancêtres kamits.

Le blocage historique des économies africaines

13 500 CFA

L’ouvrage analyse le « drame africain » et démontre qu’il est, avant tout, le résultat de la cristallisation des processus historiques propres aux pays africains, se traduisant par leur spécialisation rentière – pétrole, cuivre, diamant, cacao, café – modelée sous la période coloniale et qui définit la logique des Etats concernés. Le fonctionnement tributaire des sociétés précoloniales se projette aujourd’hui en une modernité dont la forme d’insertion au sein de l’économie-monde interdit tout développement « durable ».

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