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La Civilisation égyptienne

19 000 CFA

Dans chaque discipline il existe des classiques, c’est-à-dire des ouvrages qui, par la nature de leur sujet, par la beauté de leur composition, la profondeur des vues qui y sont exprimées, et généralement aussi par la perfection de leur style, se sont assuré une espèce d’immortalité. L’égyptologie elle aussi possède ses classiques, mais il est peu de livres concernant l’Egypte qui jouissent d’une plus grande faveur que celui de Erman et Ranke. Le nom d’Erman est en effet l’un de ceux qui comptent dans les annales. C’est lui qui a donné une impulsion nouvelle aux études égyptologiques par ses travaux sur l’écriture, la langue et la littérature de l’Egypte, ainsi que par ses ouvrages sur la religion de l’époque des Pharaons. Ce livre restera longtemps encore la meilleure évocation du passé pharaonique et de la vie égyptienne.

la civilisation de l’egypte pharaoniqure

12 000 CFA

Au VIe siècle de notre ère, la civilisation de l’Égypte pharaonique semble engloutie à jamais. Hellénisée, romanisée, christianisée, l’Égypte se coupe de son passé ; ses hiéroglyphes deviennent lettres mortes, ses sanctuaires sont désertés ou transformés en églises. Ce n’est qu’au début du siècle dernier, avec la découverte décisive de Champollion, que commence la résurrection. Depuis cent cinquante ans, grâce aux efforts conjugués des linguistes et des archéologues, l’égyptologie a accumulé trouvailles et documents. La publication de ces derniers permet aujourd’hui de brosser un tableau d’ensemble de la civilisation égyptienne. Sans doute notre documentation reste-t-elle souvent fragmentaire et, pour une large part, tributaire du hasard, mais certains traits essentiels de l’ancienne Égypte apparaissent nettement sur le visage mutilé qui nous est restitué. Parmi les textes innombrables qui nous sont parvenus, le plus grand nombre traite de questions religieuses. Et cela n’est pas l’effet du hasard chez ce peuple épris d’éternité. On ne s’étonnera donc pas de la place qui leur est faite dans ce livre. D’une façon générale, cet essai de synthèse, fait la part large aux textes. Pour peu que nous leur accordions une attention sympathique, textes et monuments anciens nous guident d’eux-mêmes vers la compréhension du passé et permettent de pénétrer dans le coeur de cette civilisation plus profondément qu’on n’aurait osè l’espérer.

le pantheon égyptien egyptien

31 000 CFA

« C’est à partir de 1823 que l’éditeur Firmin-Didot propose au public un ouvrage intitulé Panthéon égyptien, collection des personnages mythologiques de l’ancienne Egypte, d’après les monuments. L’auteur, Jean-François Champollion, vient d’acquérir une certaine renommée dans le monde savant, par sa Lettre à M. Dacier annonçant la découverte des principes du système hiéroglyphique. C’est alors la naissance de l’égyptologie, mais surtout la résurrection d’une civilisation.
A l’origine, le Panthéon se présentait comme une succession de quinze livraisons de six planches chacune, que les soucripteurs relièrent lorsque la publication prit fin. La présente édition a tenté de remettre en ordre l’édition originale, reprenant la numérotation continue retenue par Champollion. »Olivier Tiano
L’étude de Champollion couvre 90 personnages mythologiques illustrés d’autant d’illustrations de Jean-Joseph DUBOIS, fidèle ami de l’archéologue depuis 1807.

Histoire de la civilisation égyptienne

17 000 CFA

Le but du livre de Gustave Jéquier est d’étudier successivement toutes les grandes étapes de la civilisation égyptienne, de montrer les progrès réalisés peu à peu malgré les secousses et les changements de régime, en groupant les résultats acquis autour d’un rapide aperçu de l’histoire elle-même.Fort bien reçu tant par les collègues de l’auteur que par le public, ce livre a longtemps été utilisé comme ouvrage de référence, non seulement à des fins pédagogiques, mais également dans les milieux scientifiques. Hormis certaines informations ou appellations quelques peu désuètes, l’Histoire de la civilisation égyptienne garde un intérêt non seulement pour sa forme et l’approche originale de son auteur mais également pour son statut désormais d’ouvrage représentatif d’une époque, illustrant la pensée scientifique et égyptologique à l’aube du XXe siècle.  Ayant commencé sa carrière sous les auspices de Gaston Maspero et Jacques de Morgan, Gustave Jéquier est devenu l’un des grands noms de l’égyptologie moderne ; ses travaux sur les textes des pyramides ont permis une meilleure compréhension des textes religieux égyptiens.

Parlons Bété: Une langue de Côte d’Ivoire

18 000 CFA

Le bété est, au sein du groupe kru, la langue la plus importante. Le bété est parlé par environ 800 000 locuteurs originaires du centre-Ouest de la Côté d’Ivoire. Les principales villes de la zone sont : Daloa, Gagnoa, Soubré, Issia, Ouragahio, Guibéroua, Saïoua. Le bété fait partie des langues ivoiriennes qui sont enseignées dans l’école formelle et dans les programmes d’alphabétisation. Comme les autres ouvrages de la collection, Parlons bété présente non seulement une description de la langue et des éléments de conversation courante, mais également de nombreuses données sur la culture de ce peuple.

L’Afrique noire berceau de la médecine et de la chirurgie

12 000 CFA

Il y a près de 6000 ans, la société et l’État pharaonique ont œuvré pour organiser méthodologiquement la santé de toute la population. Dès lors, L’Afrique noire de la période antique édifia des centres de vie, des facultés de médecine, des cliniques mais encore les premiers dispensaires de l’histoire humaine ainsi que les premiers traités de spécialité médicales (cardiologie, gynécologie, ophtalmologie, chirurgie, neurochirurgie, etc…). Cela démontre la place très importante accordée aux savoirs médicaux.

Bien avant la médecine grecque, la science médicale africaine était réputée jusqu’au Proche-Orient. De là, de nombreux malades venaient se faire soigner, des étudiants orientaux migraient pour recevoir l’enseignent des praticiens, tout comme divers lettrés, pour s’y perfectionner. ce fut aussi le cas des Grecs, tel Hippocrate.

Il s’agissait d’un métier hiérarchisé avec les médecins du palais impérial et ceux des centres publics de vie appelés « dispensaires » de nos jours.

Il existait ainsi en Afrique noire pharaonique, des médecins généralistes, des médecins spécialiste de divers instruments et des chirurgiens réputés.

C’est donc tout cet univers encore méconnu, que l’ouvrage de l’ouvrage de l’auteur Kwadwo Fernand DOBAT-CHAULEAU vous invite sans plus attendre à découvrir, afin de remettre l’histoire universelle dans le bon sens.

Le Vodoun : leçons de choses, leçon de vie

33 000 CFA

Le vodoun masque-t-il une autre réalité ? Une réalité totalement différente de celle qui est visible, bruyante, intempestive même… ? Telle est la conviction de l’auteur qui nous propose une voie d’accès à ce vodoun des profondeurs ; celui qui ne relève pas d’une religiosité mais d’un tout autre paradigme, celui du discernement. Symboles, magistère de la foi et magistère de la raison forment un triptyque autour de l’homme qui doit, avec cet ensemble, se construire son bien-vivre, à savoir nourrir son corps et nourrir son esprit.

AKÉ-ASSI LAURENT. BIOGRAPHIE DU SAVANT Comment il est devenu le génie de la brousse et des universités

31 000 CFA

Sorti prématurément du système éducatif ivoirien, avant même la fin du cycle primaire, Aké-Assi Laurent a écrit l’une des plus belles pages de la botanique taxonomique de la Côte d’Ivoire et de l’Afrique.
Aké-Assi Laurent, à 16 ans, débarque à Paris, en 1956, sans aucun diplôme en poche, pour un stage de six mois. Au terme de cette expérience, il produit un rapport qui fait sensation à l’université Paris-Sorbonne. Après une thèse de doctorat, il rentre en Côte d’Ivoire et débute sa carrière scientifique. Il parcourt les brousses du pays, récolte les plantes pour les identifier et les nommer en latin pour leur validation scientifique. Homme humble, honnête, respectueux et passionné de travail, Aké-Assi Laurent est un grand savant, un « génie de la brousse et des universités ».

Cahiers Caribéens D’Egyptologie N°3/4

27 000 CFA

Au début du second millénaire avant JC, s’était constitué en Haute Nubie le royaume de Koush. L’Egypte l’avait immédiatement perçu comme un ennemi. C’est ce que traduisent les textes d’envoûtement du Moyen Empire. Entre l’Egypte et Koush, le sentiment d’hostilité a précédé les relations conflictuelles avérées. La présente étude essaie de montrer que ce curieux état de fait résultait : des contradictions socio-politiques et difficultés économiques de l’Egypte ; de la politique de la 6ème dynastie à l’égard des anciens Etats nubiens ; de la transposition sur Koush des ressentiments de pharaon envers les Nekhesiyou qui avaient fondé aussi l’Etat de Koush …

La femme au temps des pharaons

23 000 CFA

Cette Égypte qui nous fascine avec ses pharaons légendaires, ses sarcophages d’or et ses pyramides mystérieuses s’est-elle faite avec ou sans les femmes ? Avec, répond Christiane Desroches Noblecourt au terme d’un impressionnant travail de recherche et de décryptage. Rempli d’anecdotes inattendues, d’histoires parfois cocasses, de faits divers, d’intrigues, et de légendes cosmiques, La femme au temps des Pharaons donne une vision nouvelle et plus familière d’une époque dont on n’avait jusqu’alors que l’image impériale et grandiose.

AFRIQUE, L’IRRUPTION DES PAUVRES

21 000 CFA

Au cœur d’un « ordre » mondial en crise où la mort de celui qui est pauvre advient plus souvent qu’à son tour, l’auteur s’interroge – et interroge – sur les rapports qu’entretiennent les sociétés africaines avec l’Argent et le Pouvoir. Il faut « réapprendre l’Afrique », au-delà des stéréotypes inopérants qui dissimulent en fait la réalité : le continent noir est sous l’emprise du capitalisme, barbarie venu d’ailleurs. Ses paysans, ses ouvriers, ses fonctionnaires, ses intellectuels, ses commerçants, ses femmes et ses jeunes sont confrontés à la violence et au mensonge érigés en loi nationale et quotidienne par des Etats soumis à l’extérieur. La décennie présente s’achève avec l’effondrement des systèmes répressifs ainsi que des économies de rente et l’apparition de nouvelles stratégies populaires de résistance et d’innovation. Car pour survivre dans une Afrique « conjoncturée », écartée des échanges mondiaux, il faut penser et réaliser des alternatives viables avec tout le génie dont chaque homme dispose et qui a été libéré soudain par la déliquescence de l’autoritarisme. L’on assiste ainsi à « l’irruption des pauvres » sur la scène africaine. Les dynamiques « de vie » à l’œuvre dans les villes comme dans les villages sont davantage qu’une réponse à la « culture de mort » des pouvoirs agonisants. Mais au-delà de ces nouvelles formes d’avenir, il est évident que l’argent et son culte doivent être contrôlés par un Etat protecteur des faibles cette fois. Comment répartir le nouveau pouvoir et les richesses sans retomber dans l’ornière mortelle ? La démocratisation est un pas mais s’imposent tout autant des contre-pouvoirs populaires forts. Il s’agit là d’une revanche de l’homme africain sur le sort qui lui a été fait et qu’il s’est aussi fait depuis des siècles. On est donc loin de « l’afro-pessimisme » tout comme de « l’afro-optimisme » d’ailleurs en vigueur en Occident ces derniers temps.

RESTITUER L’HISTOIRE AUX SOCIÉTÉS AFRICAINES

11 000 CFA

L’Afrique a suscité de nombreuses recherches depuis la fin du XIXe siècle. Mais peu d’enquêtes de terrain ont porté sur les transformations des sociétés africaines. Si l’on veut sortir le Continent noir du musée des connaissances européennes, il faut promouvoir au sein des universités africaines l’enseignement des sciences sociales qui assument le poids du présent, avec les tensions et conflits, les crises et mutations qui s’imposent à l’observation. Qu’ils soient sociologues, anthropologues, historiens ou politistes, etc… les analystes indigènes ont un grand rôle à jouer pour la redéfinition de l’Afrique dans le système-monde. En rejoignant leur peuple dans ses lieux d’invention, ils aident à restituer l’Histoire aux Africains. A travers l’étude du quotidien et de l’actuel, ils lui permettent de « se penser » et de progresser. Au moment où l’Afrique est un enjeu de la connaissance, l’auteur plaide pour une mise en cause et un renouvellement des savoirs. Il trace un projet d’implantation concrète des structures pédagogiques à partir du matériau humain et des réalités socio-économiques des pays africains.

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